Création cinématographique

Ce livre aurait pu s’appeler Cassavetes et moi, la balade très personnelle de Quentin Victory Leydier, né en 1987, qui se replonge dans la carrière d’un cinéaste mort en 1989.

Un alignement des planètes et une évidence qui aboutit à la relation intime entre un cinéaste, son œuvre et l’amoureux du cinéma qui la regarde et qui voit sa vie changer irrémédiablement à son contact.

Moins un livre sur le cinéma qu’un récit personnel, très “littéraire”, même si par modestie Quentin Victory Leydier récusera le terme. Après tout, il n’est qu’un auteur de “livres sur le cinéma”. Gageons qu’Avec John Cassavetes lui donnera tort.

Dans Secrets de cinéma, les réalisateurs de trente films « cultes » livrent des anecdotes inédites sur la production de leur film, l’écriture, les comédiens, les aléas des tournages… De La vie est un long fleuve tranquille à Intouchables, en passant par Le Père Noël est une ordure ou Le Dîner de cons, suivez Bruno Cras dans les coulisses du 7e art.

POLITIQUES DU REGARD

Paradoxe fondateur : dès l’origine, l’invention des frères Lumière manifeste ses pouvoirs de rencontre et de compréhension entre des êtres différents, partout dans le monde, et mobilise dans le même temps des rapports d’exclusion et de domination, sous le signe des inégalités sociales, du racisme et du machisme. Plus d’un siècle après, ces puissances de rencontre et de découverte comme ces enjeux de discrimination et d’oppression se sont reconfigurés et ont été activés aussi dans de nombreux autres domaines. La question du rapport au divers est plus que jamais au cœur des pratiques et des effets du cinéma.

Les 501 réalisateurs qui ont fait et font l'histoire du cinéma mondial, présentés en 501 portraits illustrés. Nouvelle édition 2018 entièrement mise à jour.

Les 501 fiches qui composent cet ouvrage présentent, par ordre chronologique depuis Georges Méliès, les 501 réalisateurs qui ont fait et font le cinéma mondial tous genres confondus. Chaque entrée, d'une ou plusieurs pages selon l'importance du cinéaste, est composée d'une notice biographique, d'une filmographie raisonnée et d'un commentaire critique. Illustré par le portrait du cinéaste et des images représentatives de son œuvre, ce livre est un ouvrage de référence autant que de plaisir.

Five-time Oscar nominee and BAFTA winner, the only British director to have won the top prize at both Cannes (for Secrets & Lies) and Venice (for Vera Drake) – Mike Leigh is unquestionably one of world cinema’s
pre-eminent figures. Now, in this definitive career-length interview, he reflects on all that has gone into the making of his unique body of work.

In recent years, the television landscape has seen the glorious rise of women to key positions of power within the industry, from writers to producers to directors. Successes like Shonda Rhimes’s Holy Trinity of shows as a producer—Grey’s Anatomy, Scandal, How to Get Away with Murder—and critical darlings like Lena Dunham’s Girls, Jill Soloway’s Transparent and Jenji Kohan’s Orange Is the New Black have heralded a revolution and inspired women creators to put their smartest and boldest art onto screens everywhere.

This edition of Herzog on Herzog presents a completely new set of interviews in which Werner Herzog discusses his career from its very beginnings to his most recent productions.

Herzog was once hailed by Francois Truffaut as the most important director alive. Famous for his frequent collaborations with mercurial actor Klaus Kinski – including the epics Aguirre, the Wrath of God and Fitzcarraldo, and the terrifying Nosferatu – and more recently with documentaries such as Grizzly Man, Cave of Forgotten Dreams and Into the Abyss, Herzog has built a body of work that is one of the most vital in post-war German cinema.

In Directing Herbert White James Franco writes about making a film of Frank Bidart’s poem, Herbert White. Though the main character, Herbert White, is a necrophiliac and a killer, the poem – and the film – are an expression of life’s isolation and loneliness. A poem became a film.

In the rest of book, Franco uses poems to express what he feels about film: about acting; about the actors he admires – James Dean, Marlon Brando, Sean Penn; about the cult of celebrity and his struggles with it; about his teenage years in Palo Alto, and about mortality prompted by the death of his father.

Robert Altman served a long apprenticeship in movie-making before his great breakthrough, the Korean War comedy M*A*S*H (1969). It became a huge hit and won the Palme d’Or at Cannes, but also established Altman’s inimitable use of sound and image, and his gift for handling a repertory company of actors. The 1970s then became Altman’s decade, with a string of masterpieces: McCabe and Mrs Miller, The Long Goodbye, Thieves Like Us, Nashville . . . In the 1980s Altman struggled to fund his work, but he was restored to prominence in 1992 with The Player, an acerbic take on Hollywood. Short Cuts, an inspired adaptation of Raymond Carver, and the Oscar-winning Gosford Park, underscored his comeback.