Impossible Monsieur Cassavetes

Que reste-t-il de John Cassavetes, gueule de cinéma magnifique, comédien intense et vénéneux, cinéaste des émotions et des fêlures ? Trente ans après la disparition du réalisateur, Sophie Soligny lui consacre un portrait aussi personnel qu’indispensable, loin de la réputation de monstre sacré pour rétrospectives de cinémathèques à laquelle on le cantonne parfois. De son enfance choyée dans le Queens aux collines d’Hollywood, des cours d’art dramatique new-yorkais aux premiers succès de comédien, de la bohème de Greenwich Village, qui inspira Shadows (1959), aux tourments existentiels d’Une femme sous influence (1974), des chassés-croisés de Faces (1968) à la fresque baroque Love Streams (1984), l’œuvre de Cassavetes ouvrit la voie au cinéma indépendant made in USA.

21,00 €


  Transactions Sécurisées

Toutes les transactions sont garanties avec des protocoles de sécurité pour protéger vos données.

  Retours gratuits & remboursement

Retours Gratuits pour tous les articles vendus et expédiés par Le MacGuffin, durant 15 jours.

  Pickup available

49 boulevard Saint-Germain, Paris

Fiche technique

Auteur
Peltier Fred
Dimensions
14.5 cm x 21.5 cm
Pages
224
Langue
Français

Références spécifiques

ean13
9782840497745

Commentaires

Votre commentaire

Impossible Monsieur Cassavetes

Que reste-t-il de John Cassavetes, gueule de cinéma magnifique, comédien intense et vénéneux, cinéaste des émotions et des fêlures ? Trente ans après la disparition du réalisateur, Sophie Soligny lui consacre un portrait aussi personnel qu’indispensable, loin de la réputation de monstre sacré pour rétrospectives de cinémathèques à laquelle on le cantonne parfois. De son enfance choyée dans le Queens aux collines d’Hollywood, des cours d’art dramatique new-yorkais aux premiers succès de comédien, de la bohème de Greenwich Village, qui inspira Shadows (1959), aux tourments existentiels d’Une femme sous influence (1974), des chassés-croisés de Faces (1968) à la fresque baroque Love Streams (1984), l’œuvre de Cassavetes ouvrit la voie au cinéma indépendant made in USA.

Votre commentaire